Le genre a un nom : «cli-fi» (prononcez «claï- faï»). Ce sont les romans dystopiques sur le climat. 1300 titres recensés sur Amazon. Tous les clichés du catastrophisme écologiste se pressent au portillon. Une aubaine pour de jeunes auteurs, qui aspirent aussi à voir leur essai transformé à l’écran, dans le sillage d’un Christopher Nolan ou d’une Margaret Atwood. Le terme «cli-fi» a été lancé en 2007 par l’écrivain militant
Dan Bloom. Atwood l’a repris à son compte dans un tweet, attirant d’un coup ses 500 000 followers. Le genre attire un nouveau public de jeunes lecteurs sensibilisés à la question du réchauffement climatique. L’université de Cambridge a ouvert une formation en «cli-fi».
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